19 janvier, 2012

Gérard Goldstein,fils de mon oncle Wolf

Je recherche mon cousin Gérard Goldstein,fils de Wolf ,afin de lui verser l'indemnisation de 900€ à laquelle il a droit.
10.000€ ont été octroyé  à mes grands-parents Samuel et Jochvet (dite Héléna),du fait des spoliations.
Leurs ayant droit peuvent demander leur dû

18 janvier, 2012

Hanna Léa Kaplan,née Goldstein, "dite Lisa"

Je recherche les descendants de ma tante Hanna Léa Kaplan,née Goldstein, "dite Lisa",afin de leur verser l'indemnisation de 900€ à laquelle ils ont droit.
10.000€ ont été octroyé  à mes grands-parents Samuel et Jochvet (dite Héléna),du fait des spoliations.
Leurs ayant droit peuvent demander leur dû

Je sais que"Lisa" a eu une fille qui s'appelle Claudine née Kaplan

Elieser Goldstein,dit Léon

Je recherche les descendants de mon oncle Elieser Goldstein,afin de leur verser l'indemnisation de 900€ à laquelle ils ont droit.
10.000€ ont été octroyé  à mes grands-parents Samuel et Jochvet (dite Héléna),du fait des spoliations.
Leurs ayant droit peuvent demander leur dû
Je ne sais pas ce qu'est devenu mon oncle,et s'il a eu des descendants.

02 janvier, 2012

Łowicz, Poland

Łowicz, Poland

Vilkaviškis (Vilkovishk)

Vilkaviškis (Vilkovishk)
54 ° 39 '23 ° 02'

Vilkovishk (en yiddish) se trouve dans la partie sud-ouest de la Lituanie sur les rives de la rivière Seimena, un affluent de la rivière Sesupe, environ 18 km de la frontière avec la Prusse (aujourd'hui la Russie) et 3,5 km de Saint-Pétersbourg-Berlin ligne de chemin de fer. Il était l'un des plus anciennes villes de la Lituanie, quand en 1660 le roi Jan Kazimir lui a accordé les droits d'une ville (droits de Magdebourg).
Jusqu'en 1795 Vilkovishk faisait partie du royaume polono-lituanien, quand la troisième division de la Pologne par les trois superpuissances de l'époque - la Russie, la Prusse et l'Autriche - Lituanie de devenir causé partie russe et partiellement prussienne. La part de l'Etat qui se trouvait sur le côté gauche de la rivière Nieman (Nemunas), y compris Vilkovishk, a été remis à la Prusse qui a statué au cours des années 1795-1807.
Sous la domination prussienne les habitants ont été encouragés à construire des maisons de pierre ou de brique, au lieu de celles en bois, pour lequel ils ont obtenu un tiers des dépenses. Dans ces années-là l'importance de la Vilkovishk augmenté, étant un centre commercial sur la route de Kovno à Koenigsberg.
Après Napoléon vaincu la Prusse et conformément à l'accord du Tilzit July1807, les territoires polonais occupés par la Prusse ont été transférés à ce qui devint connu sous le nom "Le Duché de Varsovie Grande", qui a été créé à cette époque. Le roi de Saxe, Friedrich-août, a été nommé duc, et le code napoléonien est devenu aujourd'hui la constitution du duché, selon laquelle tout le monde était égal devant la loi, sauf pour les Juifs qui n'ont pas bénéficié des droits civils.
Pendant les années 1807-1813, Vilkovishk appartenait à la "Grande Duché de Varsovie» et faisait partie du district de Bialystok. Le Codex napoléonien a ensuite été introduit dans cette région, reste en vigueur même pendant la période de la Lituanie.
À l'été 1812, Napoléon, avec une énorme armée d'environ 250.000 soldats, y est resté pendant 4 jours, causant de grands dommages aux habitants de la ville et ses environs. Napoléon dit à une délégation de Juifs Vilkovishk, qui s'était approché pour lui demander que l'armée y sont stationnées retirer leurs chevaux des synagogues - étant avant "Tisha beav" (9 Av) et les Juifs voulaient pleurer la destruction du Temple à Jérusalem , - qu'il avait été en Palestine avec son armée en 1898-99, et que si il a réussi à conquérir cette terre qu'il rétablirait le royaume juif.
Après la défaite de l'armée française en Russie de nombreux soldats en retraite ont été gelés à mort et noyé dans les lacs autour de Vilkovishk, et 80 soldats français et trois généraux ont été enterrés dans le voisinage de Vilkovishk. En 1815, après la défaite de Napoléon, tous de la Lituanie a été annexée à la Russie, à la suite de ce qui a été Vilkovishk inclus dans la province Augustowa (Gubernia), et en 1866 il est devenu une partie de la Gubernia Suwalk comme capitale administrative du district.
Les Russes ont construit grandes casernes près de la ville ainsi que plusieurs usines, une usine pour la production de spiritueux et de quelques grandes usines d'extraction de l'huile etc Ils ont aussi construit des entrepôts où les grands produits fabriqués localement ont été stockés avec les produits importés, pour la distribution dans les villes voisines .
Vilkovishk dans ces années a été le centre de traitement pour les porcs poils, et en 1900, environ 1.000 personnes étaient employées dans cette industrie.
Pendant les années 1882, 1886 et 1895 la ville a souffert de graves incendies.
En 1915, pendant la Première Guerre mondiale, a été capturé Vilkovishk par l'armée allemande qui a régné là jusqu'à 1918, quand l'Etat indépendant de Lituanie a été créé. Pendant la période de la Lituanie indépendante (1918-1940) était un capitole Vilkovishk district administratif comme elle l'avait été avant et institutions appropriées, telles que les bureaux de district et la cour régionale, y étaient situés. Il y avait aussi trois hôpitaux (2 d'entre eux privés), 4 pharmacies, 2 lycées, 3 écoles primaires, une école de commerce, plusieurs bibliothèques, 2 presses d'imprimerie, 8 médecins, 8 dentistes et 2 cinémas.
Dans les années 1920 la ligne de chemin de fer Kazlu-Ruda - Marijampole - Kalvarija - Alytus a été construite, ce qui entraîne le transfert du centre commercial régional à Marijampole.
Sous le régime soviétique (1940-1941) Vilkovishk continué à servir de capitale administrative du district.
L'invasion de la Lituanie par l'armée allemande en Juin 1941 a causé la destruction de la plupart (environ 90%) des maisons de Vilkovishk. Pendant les premiers mois de l'occupation allemande (Juin-Septembre 1941), elles, avec leurs auxiliaires locaux assassiné 3056 personnes, la plupart d'entre eux juif. Vilkovishk a été libérée du joug nazi par l'Armée rouge le 9 août 1944.


Colonies juives qu'après la Première Guerre mondiale une
Selon la tradition, les Juifs ont commencé à s'installer dans Vilkovishk déjà dans le 14e siècle, mais dans les vieilles pierres tombales du cimetière juif ont été trouvés datant seulement de 1575. Au début de l'Bona reine du 16ème siècle (épouse du roi Zigmunt août, la deuxième) a fait don de bois pour les citoyens de Vilkovishk à construire des maisons de prière. Les juifs aussi ont été parmi les bénéficiaires et leur synagogue construite en 1545, qui a existé jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, après avoir été rénové à plusieurs reprises au fil des ans. Il contenait un grandiose chêne "Aron Kodesh" (arche sainte), haut de trois étages (11 mètres), artistiquement décorée avec ornements en bois gravé, qui abritait plusieurs rouleaux apporté par ces expulsés d'Espagne ainsi que l'habituel Torah sifrei (Rouleaux de la Torah).
Au début du 18ème siècle les juifs défunt de Koenigsberg (Prusse) ont été portées à Vilkovishk pour l'enterrement, parce qu'ils n'étaient pas autorisés à construire un cimetière pour eux-mêmes.

21 septembre, 2011

film de propagande GAZA STROPHE à Châteauroux

 
BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L' ANTISEMITISME
8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy
Le Président*
Sammy GHOZLAN
0668563029
DRANCY LE
 
 
Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme a ete requis par de nombreux concitoyens , administrés de la Ville de Chateauroux notamment, scandalisés par la programmation au  Cinéma APOLLO ,d'un film dont le thème est provocateur, contestable et contesté.Il s'agit du film de propagande GAZA STROPHE qui  devrait être présenté le 22/9/11 en première soirée spéciale en partenariat avec l'association France Palestine Solidarité . Nous considérons que ce film de Samir Abdallah et Khéridine Mabrouk procède de la propagande palestinienne qui depuis 11 ans est la source essentielle de l'antisémitisme qui sévit en Europe et en France en particulier .Le parti prix des dirigeants de APOLLO est d'autant plus manifeste que le film est présenté comme un documentaire réalisé par  les auteurs qui auraient, "au lendemain de la guerre israélienne contre Gaza,  filmé, au milieu du chaos, la parole des habitants, l'unique bien qui reste aux Gazaoui."
Le BNVCA rappelle que ce film,dont les scènes montées, préparées, les discours téléguidés, sont de nature a inciter à la haine et à la violence, d'autant que ce film est partisan et ne prend pas en compte les causes de l'action israelienne,ni les drames vécus par la population des villes du sud d'israel bombardée depuis Gaza par les terroristes du Hamas . Des français en visite en israel aux mois de Juillet et Aout 2011 peuvent témoigner de ces bombardements incessants, qui tuent blessent détruisent.Selon les correspondants du BNVCA, dans  ce documentaire propagandiste,GAZASTROPHE les images,les opinions qui falsifient la vérité,sont assénées au public sans contradiction.
Nous demandons au Maire ce Chateauroux ,ainsi qu'au service Culturel de la Ville, et au Cinéma Apollo, de faire déprogrammer ce film de propagande, dont l'objectif est d'inciter à cette haine d'israel qui poussera à l'acte antijuif.
Nous rappelons que le BNVCA est déjà intervenu auprès de la direction d'une grande surface de la ville qui a retiré de ses étalages les produits israeliens et les produits cachers à la suite de menaces et intimidations exercées par les propalestiniens de BDS.
Nous attirons l'attention des autorités de Châteauroux sur le fait que l'Association France Palestine Solidarité ne peut recevoir aucune aide ou subvention publique , car selon les attendus du Tribunal Administratif requis en 2001 par le Préfet de  Seine Saint Denis à la demande du Conseil des Communautes Juives du Departement,elle n'est pas consédérée comme association caritative , mais à but politique.
Le BNVCA réfute à l'avance toute accusation de censure.,En la circonstance, compte tenu de l'expérience, et du grand malaise ressenti, le BNVCA agit de façon préventive, notamment au moment où les esprits seront échauffés par la campagne menée par l'Autorité Palestinienne pour  faire reconnaitre La Palestine à l'ONU. 
Le BNVCA saisit le Ministre de la Culture et le Ministre de l'Intérieur auxquels il demande leur intervention pour faire annuler cette programmation à risque.

18 août, 2011

Dans le village où je vis:Des Justes ont sauvé des enfants juifs

Gaston--Patoux

Gaston Patoux


Dossier Yad Vashem : 708
Remise de la médaille de Juste : 19/10/1971
Sauvetage : Vendœuvres 36500 - Indre
Profession: Fermier, vigneron


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Gaston-Patoux
Les Justes de France au Panthéon
source photo : YV _ FMS
crédit photo : D.R.


Juliette* et Gaston Patoux* sont agriculteurs et habitent La Caillaudière, à Vendœuvres, près de Châteauroux.

En octobre 1940, David Zimmern et son épouse Lydia, née Bloch, des Juifs Allemands, sont internés au camp de Gurs avec leurs deux filles, Beate et Felice, nées en Allemagne en 1937 et 1939.

L'OSE parvient à faire sortir les deux enfants du camp de Gurs et les place à la pouponnière de Limoges. Beate et Felice y resteront deux ans, jusqu'à ce que l'OSE prennent la décision de disperser les enfants dans des familles non juive pour leur sécurité.

C'est ainsi que Felice, 4 ans, arrive chez Juliette* et Gaston Patoux* qui prendront soin d'elle comme si c'était leur propre fille.
Trois mois avant la fin de la guerre, ils accueillent également Beate.

Felice se souvient : « J’étais dans un état épouvantable en arrivant. Toute petite, maigre, et mon corps était couvert de croûtes à cause de la malnutrition.
Ils s’occupèrent de moi et me protégèrent comme si j’étais leur propre enfant. Je vécus avec eux pendant trois ans et demi, jusqu’à l’âge de cinq ans et demi. Ils avaient fait preuve de tant d’amour que j’avais fini par les considérer comme mes parents.
Quand je demandai à Mme Patoux, de nombreuses années plus tard, comment j’étais arrivée chez eux, elle me répondit : “Oh, je ne sais pas. Quelqu’un est sorti des bois et m’a demandé si je voulais recueillir une petite fille juive, alors j’ai dit oui.” Dès le début, ils m’ont extrêmement bien traitée. Je me sentais comme leur enfant. Je dormais dans la même chambre à coucher et ils employaient tous leurs efforts à me soigner.
M. Patoux me fabriqua un jouet : une poussette sur mesure. Les roues étaient toutes petite pour que celle-ci soit à ma hauteur. Elle était ornée d’une capote et de volants sur le côté. Ils m’offrirent aussi une poupée qui m’était très chère et que j’avais appelée ma “ya-ya”. Pour mon cinquième anniversaire, ils firent tout pour que j’aie l’impression d’être quelqu’un de vraiment important. Ils me firent monter sur une chaise et m’offrirent un bouquet de fleurs tandis que toute la famille applaudissait.
Recueillir ainsi une petite fille signifiait encourir un danger permanent : « A cause de moi, les Patoux craignaient dans cesse d’être arrêtés pas les nazis et étaient toujours prêts à prendre la fuite. Pour cette raison, Mme Patoux gardait toujours sa combinaison pour dormir.
Les gens du village me traitaient comme la fille des Patoux. J’allais à l’église avec les Patoux. Personne ne me dénonça. je ne savais même pas que j’étais juive.
La séparation d’avec les Patoux me fut très douloureuse, car ils étaient devenus pour moi “Pépé” et “Mémé”.
»

Les parents des fillettes ne reviendront pas. En août 1942, ils avaient été transféré de Gurs vers le camp de Rivesaltes puis vers Drancy en septembre 1942 avant d'être déportés sans retour vers Auschwitz le 4 novembre 1942 par le convoi n° 40.

Les deux orphelines seront alors accueillies par l'OSE à Draveil et à Tavery où elles resteront six ans avant d'émigrer aux États-Unis en 1951, n'oubliant jamais leurs sauveteurs.
Des années plus tard, Felice Zimmern reprit contact avec JuliettePatoux*, dont le mari était décédé entre temps.
Cette notice est réalisée avec le concours du Comité français pour Yad Vashem


Réseau de sauvetage
Juliette Patoux
Familles hébergées, cachées, aidées ou sauvées par Gaston Patoux
Felice Zimmern
Beate Zimmern


Chronologie [Ajouter]
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.



Autres articles parus dans le site de l'AJPN

1 Edmond Dauphin* (Secrétaire générale de la préfecture de l'Indre )

05 août, 2011

LE 5 AOUT 1944

LE 5 AOUT 1944


Aujourd'hui, je suis triste
Je commémore le massacre de 7 membres de ma famille qui ont été gazés ensemble à Birkenau/Auschwitz
Le 5 aout 1944
2 adultes et 5 enfants
Voir la liste des enfants déportés avec eux, par le convoi n° 77 parti de Drancy le 31 juillet 1944
4 des enfants et une adulte ont été raflés dans le centre de l'UGIF du 19è arrondissent
Un des enfants a été arrêté avec ses parents sur dénonciation d'un voisin qui voulait leur appartement
Pour moi, ils étaient 5 cousins et cousines et 2 tantes
Tauba (Thérèse) Goldstein: sœur de mon père: 24 ans
Sonia Goldstein née Sossia Smiliansky, épouse d'un frère de mon père: Wolf Goldstein: 33 ans: mère de 3 enfants (2 fils gazés ce jour là):
Bernard Goldstein, fils de Wolf: 14 ans
Daniel Goldstein: Fils de Wolf: 5 ans
Jacques Bender: Fils d'une sœur de mon père: Gita(Ida) née Goldstein: 12 ans
Dora Bender: fille d'une sœur de mon père: Gita(Ida) née Goldstein: 8 ans
Jean Bender: Fils d'une sœur de mon père: Gita(Ida) née Goldstein:4 ans