17 décembre, 2008

MA TANTE LOUISE GOLDSTEIN

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

L'acte de naissance de ma tante Louise Goldstein nous apprend beaucoup de choses

Elle est la seule des filles à n'avoir pas la fin de son prénom qui se termine par A
Malheureusement, elle est morte, enfant, de la coqueluche, comme c'est habituel dans notre famille

À ce sujet, j'ai fait un parallèle entre mon père et mon grand-père
Mon grand-père a eu 14 enfants
Mon père a eu 12 enfants
Tous les deux ont perdu une fille et un fils en bas âge de la coqueluche
Tous les deux ont perdu une fille adulte
: Mon grand-père: Tauba,(dite Thérèse) gazée à Auschwitz à l'âge de 24 ans
: Mon père: Denise: qui s'est suicidée à l'âge de 29ans

Sur l'acte de naissance, il est écrit: Golstein et mon père a signé comme témoin: Isak Goldstein
Il est dit aussi que ma grand-mère ici nommée: Hélène Lejbowicz(son vrai prénom étant Jochwet, elle se faisait appeler Héléna,) est née à Lodz (Pologne);
Louise est née au domicile de ses parents: 14, rue du Figuier, Paris 4è
C'est mon père: Isak Goldstein, 18ans, tailleur, qui l'a déclarée à la mairie du 4è

18 novembre, 2008

16 novembre, 2008

ÉLIE WIESEL a inauguré la maison d'enfants de l'O.S.E à Taverny qui porte son nom


Cliquez sur les photos pour les agrandir



ÉLIE WIESEL a inauguré la maison d'enfants de l'O.S.E à Taverny qui porte son nom

Lorsque j'étais enfant, je l'ai rencontré à Taverny, dans cette maison d'enfants.
J'avais lu ses 3 premiers livres
Je n'ai pas osé le lui dire

Près de chez moi Val d'Oise (95)

TAVERNY

Elie Wiesel a retrouvé sa « maison du bonheur »

Le Prix Nobel de la paix 1986, rescapé des camps de concentration, est revenu hier au château de Vaucelles, où il a séjourné après la guerre.

Arnaud Baur | 14.11.2008, 07h00

Partager

delicio.us
facebook
Digg.com
Wikio.fr
scoopeo.com
blogmarks.net

UN MOMENT chargé d’émotion et rempli d’histoire. Elie Wiesel, rescapé de la Shoah, Prix Nobel de la paix en 1986, a dévoilé hier après-midi deux plaques apposées sur la maison d’enfants de l’OSE (Œuvre de secours aux enfants), au château de Vaucelles, à Taverny. Cette maison, qui l’a lui-même accueilli au sortir de la guerre, porte désormais son nom.


« C’est un symbole fort pour les enfants, commente Richard Josefsberg, le directeur
de la maison de Taverny. Cela leur rappellera toujours que, malgré les difficultés qu’ils rencontrent, rien ne peut les empêcher de continuer à vivre et à réussir. »

Elie Wiesel a été déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, puis dans le camp de Buchenwald. Il y perdra notamment ses parents et sa sœur. A la Libération, à l’âge de 17 ans, il a été recueilli en France par l’OSE à Taverny, avant d’étudier à la Sorbonne, de devenir écrivain et, surtout, un défenseur inconditionnel de la liberté et de
la paix.

« C
’était la maison du bonheur, décrit-il aux enfants et éducateurs qui ont pu échanger avec lui avant la cérémonie, hier. On a proposé mon nom pour de nombreux édifices. A chaque fois, j’ai refusé. Mais ici, j’ai accepté. C’est une dette de reconnaissance à la France et à l’OSE. Quand j’écris, je pense et je parle encore de Taverny, là où j’ai commencé à apprendre votre langue. »

La maison d’enfants porte désormais le nom de l’écrivain


Tout était fait à l’époque pour que les enfants soient accueillis le mieux possible. Des consignes avaient été données afin que rien ne leur soit refusé. Anecdote pleine de force, le portail avait été enlevé, « pour qu’ils aient la sensation de totale liberté », a raconté dans son émouvant discours un des anciens camarades de l’écrivain.

Devant un parterre d’élus, d’anciens compagnons, de représentants religieux, d’enfants et d’anciens de l’OSE, Elie Wiesel, 80 ans, accompagné de sa femme, a ensuite prononcé un discours et rendu hommage à ce lieu et à ses éducateurs.

Une soirée de gala, en présence de nombreuses personnalités, a ensuite été donnée au pavillon Gabriel, en son honneur. L’occasion, également, de recueillir des fonds pour l’OSE et la création d’un centre médico-social dédié à l’enfance et à l’adolescence. « Faire en sorte que les enfants qui ont besoin d’une maison comme celle-là puissent l’avoir. »

Le Parisien

13 novembre, 2008

Soirée spéciale à l'Apollo sur le camp de Douadic

Soirée spéciale à l'Apollo sur le camp de Douadic
Télécharger la page
DR
La projection du film sera assortie d’une conférence.




Nombre d'Indriens ont eu la chance de le croiser déjà, après la sortie du film qu'il a réalisé avec Jacques Merlaud : « La Nasse ». Philippe Barlet, sera l'invité de l'Apollo, vendredi, à partir de 20 h pour présenter ce document.
« Film important dans l'histoire de l'Indre […] il était donc évident qu'il avait sa place à l'Apollo. Nous le diffusons dans le cadre du Mois du film documentaire », confie Agnès Rabaté, du ciné castelroussin.
L'histoire est tristement célèbre dans le département : de 1942 à 1944, de nombreux juifs échouent dans le camp de Douadic dans l'Indre. Malgré les dévouements qui se manifestent alors à leur égard, Douadic marque souvent, pour ces fugitifs de l'Histoire, la première étape d'un long et inexorable voyage vers les camps d'extermination nazis. « Douadic a été une véritable nasse pour les juifs dont un grand nombre étaient venu se réfugier dans l'Indre pour échapper à la déportation… »
« Un ensemble de sources iconographiques exceptionnelles – notamment le seul film à ce jour connu, tourné dans un camp français ayant servi à la mise en œuvre de la “ solution finale ” – sont à l'origine de la réalisation de ce film documentaire », ajoute Agnès Rabaté.
La séance sera présentée par Philippe Barlet, en présence de témoins, suivie de « L'histoire des camps et de la déportation dans la Région Centre en 1940-1945 », conférence animée par Philippe Barlet et Jean-Louis Laubry.

Vendredi 14 novembre, à 20 h, au cinéma Apollo de Châteauroux, « La Nasse, Histoire du camp de Douadic 1942-1945 », film documentaire français (2007). Durée : 1 h 30. Tarif unique : 2 €.

10 novembre, 2008

Philippe Orfali : Il y a 70 ans, la Nuit de cristal |

Il y a 70 ans, la Nuit de cristal


Il y a 70 ans, la Nuit de cristal

Agrandir

M. Glaser montre l'une des dernières photos qu'il a de sa famille (il est debout, à gauche). Elle date de 1938. Toute sa famille, sauf lui, a trouvé la mort dans les camps de concentration nazis.

Photo: Robert Skinner, La Presse

Philippe Orfali
La Presse

Neuf novembre 1938. Willie Glaser, 17 ans, descend du train qui l'amène de Munich à la résidence de ses parents, à Fürth. Ce qu'il voit autour de lui le laisse sans mots. «Je savais exactement ce qui se passait. Malgré la fumée qui nous entourait, je pouvais voir que tous les lieux juifs de ma ville se faisaient incendier.»

Il y a 70 ans aujourd'hui, l'Allemagne se réveillait en cendres, au lendemain de l'une des plus sinistres nuits de son histoire. Un préambule à ce qui s'en venait pour la population juive d'Europe : quelque 300 synagogues furent saccagées, 7500 commerces juifs pillés et brûlés. Une centaine de Juifs furent assassinés et 30 000 hommes furent arrêtés cette nuit-là. La Kristallnacht - Nuit de cristal, nommée ainsi en référence au bruit des vitrines, des fenêtres et des vitraux cassés - fut l'un des points culminants des violences antisémites qui gagnèrent l'Allemagne après l'arrivée au pouvoir des nazis, en janvier 1933.Présenté par les nazis comme une réplique de la population à l'assassinat d'un diplomate du Reich à Paris par un jeune Juif, ces violences ont été orchestrées par le gouvernement nazi et commises par des groupes de soldats, de membres de la Jeunesse hitlérienne et de la Gestapo, notamment.

À Fürth, le maire avait ordonné aux pompiers de ne pas intervenir ce soir-là. «Dans notre quartier, on pouvait voir les ruines de quatre synagogues, des flammes léchant ce qu'il restait de ces lieux saints», relate M. Glaser, aujourd'hui âgé de 87 ans. Quelques personnes dans la foule riaient alors que ces synagogues centenaires s'envolaient en fumée. «Mais la majorité restait là, immobile et silencieuse. Moi, je me disais : «Mon Dieu, que se passe-t-il ?» Je sais maintenant que les gens avaient peur.»

De la «barbarie injustifiée»

«Ce n'était pas que le saccage de synagogues et d'entreprises juives. Il s'agissait d'actes de barbarie injustifiée», dit-il.

Avec le ton posé d'un homme qui a raconté son histoire maintes et maintes fois, Willie Glaser explique comment, avant la fin de la guerre, toute sa famille avait été décimée sauf lui. «Le 22 mars 1942, ma mère, mes deux soeurs et mon frère furent déportés en Pologne. Ils périrent à Belzec. Mon père, lui, fut déporté du camp de Drancy, près de Paris, vers Auschwitz. Il fut gazé dès son arrivée au camp, le 7 décembre 1943.»

M. Glaser a eu plus de chance. Son père, alors en France, avait réussi à lui obtenir un visa vers la Grande-Bretagne.

«Kristallnacht, c'était la genèse de tout ça. Le début de l'enfer qu'allaient subir les Juifs d'Europe pour les années à venir, le début de l'Holocauste, qui fit 6 millions de morts», souffle M. Glaser.

«Ce soir-là, nous ignorions complètement ce qui s'en venait pour nous. Évidemment, nous nous attendions à d'autres violences, car nous savions qu'Hitler détestait les Juifs, mais personne n'aurait pu prévoir les événements effroyables qui nous attendaient.»

Ce soir, à la commémoration de la Kristallnacht, au Centre commémoratif de l'Holocauste à Montréal, Willie Glaser prononcera le Kaddish, une prière souvent prononcée dans les cérémonies de deuil. «Nous sommes de moins en moins nombreux à avoir vécu ces horreurs, dit-il. Et plus nous vieillissons, plus il importe de parler de ces événements horribles.»

«Je le fais pour toute ma famille qui a péri dans l'Holocauste et pour tous ceux qui ont sacrifié leur vie lors de la Nuit de cristal.»


09 novembre, 2008

Pour eux, c’est toujours Treblinka


L’ouvrage de Charles Patterson Eternal Treblinka (2002) est enfin paru en français (Un Éternel Treblinka, Calmann-Lévy, 2008). L’historien américain traite d'une question extrêmement polémique : le rapport qu’entretient l'être humain avec les autres espèces vivantes, conscientes et sensibles. Comme l’a écrit Milan Kundera, c'est là la question morale fondamentale, si fondamentale que tout le reste en découle.
Un Éternel Treblinka est un hommage à Isaac Bashevis Singer (le titre est tiré d’une de ses nouvelles).

Pour ces créatures, tous les humains sont des nazis ; pour les animaux, c'est un éternel Treblinka. Isaac Bashevis Singer (The Letter Writer)

Le rapprochement entre notre façon de traiter les animaux et la Shoah – un tabou que l’écrivain de langue yiddish et prix Nobel de littérature lui-même a été le premier à briser – n’a pas fini de faire hurler un certain nombre d’esprits rigides qui tiennent absolument à maintenir, au mépris des évidences scientifiques les plus criantes, une frontière bien nette entre l’espèce « des Seigneurs » (la leur) et l’ensemble des autres espèces animales, toujours considérées comme inférieures.
Auschwitz commence lorsque quelqu'un regarde un abattoir et se dit : ce ne sont que des animaux. Theodor Adorno

"À Auschwitz, nous étions comme des animaux", déclarait Simone Veil dans les années soixante-dix. En vertu de quelle logique cette comparaison entre les déportés et les animaux vaudrait-elle uniquement lorsqu’elle est formulée de gauche à droite ? Autrement dit, comment peut-on trouver naturel de comparer les camps de concentration aux abattoirs ou aux élevages en batterie, et scandaleux de comparer les derniers aux premiers ?

Patterson nous montre que la Shoah est historiquement et techniquement liée à l'industrialisation des élevages. Nous découvrons par exemple qu’Henry Ford, responsable d’une propagande antisémite sans précédent, avait conçu l’idée du travail à la chaîne après avoir visité un abattoir ; que les massacres de Katyn ont eu lieu pour partie dans des abattoirs ; et qu'Hitler avait confié la responsabilité de la "Solution finale" à un éleveur de poulets.
Au passage, l’auteur tord le cou une fois pour toutes à certains mythes encore entretenus de nos jours par une certaine presse, notamment les prétendues lois nazies en faveur des animaux et le prétendu végétarisme d’Hitler.
Ce que les nazis ont fait aux Juifs, l'Homme le fait à l'animal. Isaac B. Singer (Ennemies)

Il serait temps que nous comprenions que, lorsque nous pratiquons une discrimination morale entre notre espèce et les autres, la logique qui est à l’œuvre est très précisément celle qui a si souvent conduit les hommes à pratiquer une discrimination entre leur propre groupe d'appartenance et d'autres groupes ethniques, avec les conséquences que l’on sait. Certes, une telle remise en question de notre conception anthropocentrique du monde n’est pas une petite affaire, car elle va à contre-courant de toute l'Histoire humaine (comme le montre l'auteur, l'asservissement des animaux a servi de modèle à l'asservissement d'autrui). Elle n'en est pas moins indispensable. Rappelons encore cette parole de Tolstoï : « Tant qu’il y aura des abattoirs, il y aura des champs de bataille. »
Clair, sérieux, bien documenté, original et sans équivalent, ce remarquable essai de Charles Patterson ne saurait être ignoré de quiconque se refuse à penser le monde avec des œillères.

26 octobre, 2008

Histoire de ma cousine MINA BENDER pendant la SHOAH



Jacques et Mina BENDER

Dans le livre de Serge KLARSFELD "Le Mémorial des enfants juifs déportés de France" Tome 4
LA SHOAH EN FRANCE
Cliquez sur les photos pour les agrandir

Feuille de déportation de Josek Haïm BENDER


Histoire de ma cousine MINA BENDER pendant la SHOAH
Mina est née le 28/06/1930 à Paris 12è
Elle est la fille de Gita (dite Ida) née GOLDSTEIN , sour de mon père Isaac GOLDSTEIN


Son père JOSEK HAIM BENDER de nationalité polonaise a été arrêté LE 14/5/1941
Et interné le 24/06/1941 à PITHIVIERS
Est inscrit(e) sur le Mur des Noms en tant que Chaïm BENDER né(e) le 30/01/1901 à LOWIC, déporté(e) par le convoi n° 04 au départ de Pithiviers le 25/06/1942.
De profession Repasseur.
Habitait au 10, rue des Deux Ponts dans le 4ème arrondissement à PARIS. (France)
Né le 30/01/1901 à Lowicz (Pologne)
Convoi du : 25/06/1942
Au départ de : Pithiviers (45)
A destination de : Auschwitz (Pologne)
Date du décès : 30/06/1942
Lieu du décès : Auschwitz (Pologne)
Source : J.O.R.F. n° 218 du 20/09/2007
Référence n° : D-42985

MINA BENDER a été portée disparue pendant 40 ans
A porté l’étoile jaune
Pas de scolarité pendant la guerre
So père et ses 3 frères et sœurs ont été gazés à AUSCHWITZ

Jacques BENDER Est inscrit(e) sur le Mur des Noms en tant que Jacques BENDER né(e) le 28/07/1932 à PARIS4è ,déporté(e) par le convoi n° 77 au départ de Drancy le 31/07/1944: il avait 12 ans
Dora BENDER né(e) le 29/07/1936 à PARIS14è Déporté(e) à Auschwitz par le convoi n° 77 au départ de Drancy le 31/07/1944: elle avait 8 ans
Est inscrit(e) sur le Mur des Noms en tant que Dora BENDER né(e) le 29/07/1936 à PARIS, Jean BENDER né(e) le 22/03/1940 à PARIS.14èEst inscrit(e) sur le Mur des Noms en tant que Jean BENDER né(e) le 22/03/1940 à PARIS, déporté(e) par le convoi n° 77 au départ de Drancy le 31/07/1944.: il avait4 ans

MINA BENDER a été maltraitée par la gestapo

Les 4 enfants ont été placés dans les centres de l’UGIF entre 1942 ET 1944
Au centre LAMARCK puis évacués lors du bombardement de nuit vers le CENTRE SECRETAN
Les enfants étaient évacués par petits groupes dans les fermes à la campagne.
Les plus grands sont partis en premier
MINA BENDER est partie 2 semaines avant la rafle de juillet 44dans une ferme à Montereau, en Seine et Marne
Ses 3 frères et sœurs devaient la rejoindre et ne pas dire qu’ils la connaissaient ni qu’ils étaient juifs
MINA est tombée malade et a été évacuée vers le sanatorium de Feneyrols les Bains
Au centre LAMARCQ MINA BENDER a eu à s’occuper des internés de l’Île de Ré
Elle a soigné MAITRE THEODORE VALENSI

22 octobre, 2008

Ce chasseur est il antisémite?

Un chasseur dont je terrai le nom pour ne pas lui faire honte m'a envoyé ce message
Au sujet de cet article: http://berry-aspas.spaces.live.com/blog/cns!B16A79AF69A1A06C!10995.entry

Madame GOLDSTEIN,
C'est toujours un plaisir de lire vos écrits et ceux de vos amis qui ont un QI égal à 40, ce qui n'est déjà pas si mal pour un écolo, surtout quand il est végétalien.
Au fait, que pensez-vous du sort des palestiniens ? Sont-ils des chasseurs au point que leur souffrance se justifie ? est-ce que ce que les juifs ont subi dans les années 40 justifie ce qu'ils leurs font subir ?



Ce chasseur est un imbécile et un inculte
Il confond les juifs et les israéliens
Est-ce que je confonds les musulmans et les habitants de l'Arabie Saoudite?
Il ne connait manifestement rien aux problèmes de ce monde en général et au problèmes du moyen orient en particulier
Je ne vois pas le rapport entre les camps d'extermination et ce qui se passe entre les israéliens et les palestiniens.


20 octobre, 2008

Les GOLDSZTAJN dans le cimetière de Lodz

Les GOLDSZTAJN dans le cimetière de Lodz

Goldsztajn Abram I.
Goldsztajn Ajzyk
Goldsztajn Chil Majer
Goldsztajn Hersz
Goldsztajn Jakub Szapsa
Goldsztajn Lajb
Goldsztajn Szmul
Goldsztajn Szulim

Le vrai nom de mon grand-père est Szmul Godsztajn
Devenu Samuel Goldstein en France

17 octobre, 2008

J'ai retrouvé ma nièce Myriam, fille de ma soeur Denise Goldstein

Myriam à 1 an
Denise en 1957, à 17 ans

Denise en 1954, à 15 ans

Photo de Denise Goldstein à lâge de 13 ans


J'ai retrouvé ma nièce Myriam, fille de ma sœur Denise Goldstein

Ma sœur Denise, qui avait 10 ans de plus que moi (elle était née en juillet 1939) vivait avec son ami Riton, dont elle a eu une fille Myriam
Denise est morte en juin 1969 à l'âge de 29 ans, "tombée" du 12è étage
Suicide ou meurtre?
On ne saura jamais
Ce que l'on sait c'est que Denise était une femme battue
Myriam, alors âgée de 2 ans a assisté à scène
Myriam s'est mariée, a une fille Hélène, âgée de 17 ans
Myriam est à présent divorcée
Myriam a été élevée par les parents adoptifs de Riton

17 septembre, 2008

Chez les enfants de ma tante Anna dite Nénette

Ce week-end j'ai rencontré 1 cousine, son mari
Un cousin, son fils et son épouse
Ce sont les enfants d'une sœur de mon père
Elle s'appelait Anna Goldstein dite Nénette

Nous avons regardé et trié d'anciennes photos de la famille Goldstein
Elles sont ICI

07 septembre, 2008

FAMILLE SCHWARTZ

Bonjour,
Je suis la cousine germaine de J.- SCHWARTZ, et je suis allée sur votre blog. Mon père se nommait Serge SCHWARTZ, était né en 1922, c'était le demi-frère de Moïse SCHWARTZ et le fils d'Isaac leib SCHWARTZ né en 1885 à WLODAWA Pologne.Cet été, avec ma famille, je suis allée pour la première fois en Pologne. Nous avons visité Cracovie, Varsovie, Lublin et nous sommes allés à WLODAWA. Nous sommes également allés à Auschwitz, Birkenau et Madjanek. Nous n'avons pas pris de photos dans les camps, mais nous avons des photos de WLODAWA que nous pourrons vous envoyer par mail si cela vous intéresse.A Wlodawa, nous avons rencontré le directeur du musée synagogue, il nous a dit qu'il chercherait dans ses archives s'il retrouve des traces de la famille Schwartz. Il se nomme Marek Bem et il y a un site internet de ce musée synagogue. A ce jour, nous n'avons pas de nouvelles de Wlodawa mais si vous êtes intéressée, je pourrai vous communiquer l'adresse du site. Je tiens au courant Jean-Robert de mes recherches.A bientôt, j’espère
Cordialement
C...... Schwartz

29 août, 2008

Enfin des nouvelles de la famille SCHWATZ

Beila (Berthe) SCHWARTZ, ma grand-mère maternelle
Enfin des nouvelles de la famille SCHWARTZ

Aujourd'hui, j'ai reçu ce message:
De : Jean Robert Schwart.......
Sujet : famille
Message :
Bonjour, Je m'appelle Jean-Robert Schwartz, je suis né le 17 juin 1946 à Saint-Ouen dans la région parisienne. Mon père, Moïse Schwartz est né en 1908 à Paris. Son père, mon grand-père, s'appelait Isaac Schwartz en 1886 à Wlodawa, il était tailleur. Je ne sais rien sur lui ni sur sa famille. Votre grand-mère Beila Schwartz avait-elle un frère qui pourrait être mon grand-père? Je vous remercie des informations que vous pourriez me donner. Mon téléphone est ..............
Cordialement, Jean-Robert Schwartz

J'ai répondu ceci:

Famille Schwartz

Bonjour Jean-Robert
Schwartz de Wlodowa....oui, je pense qu'il y a des chances que nous soyons de la même famille
Bejla (Berthe) Schwartz, née en 1886 à Wlodova,ma grand-mère avait bien des frères et soeurs
Son père s'appelait Abraham Schwartz, né en 1864 à Wlodowa
Sa mère: Raissa Vinisky ou un nom comme ça née aussi à Wlodowa en 1872
Voici le dossier de naturalisation:
Je vous donne le numéro de téléphone d'une fille d'un frère à Beila (Berthe)qui est donc une cousine de ma mère: .............
Vu son âge (77 ans, je crois) elle doit en savoir plus
En tous cas, les dates et les lieux que vous me donnez correspondent bien.......

Je lui ai téléphoné
Je suis quasiment sûre que nous sommes de la même famille
Je lui ai dit de demander son dossier de naturalisation
Encore une journée à marquer d'une pierre blanche
.

26 août, 2008

LA FAMILLE BENDER

-->
LA FAMILLE BENDER
Cliquez sur l'image versez voir photos d'Autres et les agrandir
FAMILLE BENDER

Gitla Bender, sœur de Mon Père Isaac Goldstein S'est mariée AVEC Josek Haïm Bender
Ont eu ILS de la piste 4 Enfants
Josek Haïm Est Mort à Auschwitz, Ainsi Que 3 des 4 Enfants
Mina Bender, ma cousine serait Peut-être la Seule rescapée de la famille Bender (Gitla étant une Goldstein)
J'ai des Recherches
Je n'ai pas  Trouvé de traces du père de Josek Haïm: Icek Bender
Ils habitaient à Lodz, Seul le père intérêt né à Lowicz
J’ai retrouvé la trace d'un oncle à Auschwitz:
Travailleurs forces à Auschwitz
Nom: Bender, Mojer
Né: 15/02/1917 Lodz
Dernière résidence : Lodz
Profession: Tailleur
Père: Bender, Icek
Mère: Sojdel, Zlata
Épouse: Mandel, Laja
Arrêté: 06/06/1942
Arrivé à Auschwitz: 31/03/1943
Form-Reel: 2124-4
J’ai retrouvé d'Autres Membres de la famille Dans Le ghetto de Lodz:
L'Épouse d'Icek, faite la mère de Josek, la grand-mère de Mina: Zlata Brucha Zajdel
Nom de famille: BENDER
Prénom: ZLATA
Date de Naissance 20/12/1875
Résidence: Lodz, Pologne
Pendant la guerre: LODZ, GHETTO
Rue du ghetto: FRANZ STRASSE
Adresse Dans Le ghetto: 87 APPARTEMENT 2
TR Transport 25
Liste ghetto de Lodz Détenus
Langue: Allemand
Je sais qu'à cette époque, ILS étaient Déportés vers le camp d'extermination de Chelmno, d’où il eu n'y a Que 2 rescapés

Une fille de Zlata, JE suppose:
Nom: BENDER, Golda
Née le 06/10/1913
Résidence Lodz, Pologne
Adresse Dans Le ghetto: Franz Strasse 87 Appartement 2
TR Transport 25: 25/02/1942 / Ausg
Handelsgehil: C'EST métier le, JE n'ai Pas sur Traduire
Un Été déporté AVEC SA mère Je suppose Chelmno

Une Épouse d'oncle de l'ONU:
Nom: BENDER, Brana
Née en 1908
Résidence Lodz, Pologne: 25 Pomorska
Adresses Dans Le ghetto:
Siegfried Strasse 87 Franz Appartement 2 22/12/1941
Siegfried Strasse 73 8 plat
Gasse Muhl 67 29/07/1942
Femme au foyer
Elle une déménagée médical Court Fois Dans Le ghetto
Tu vas être expulsée Pas Été
Sa fille:
BENDER, enfant Dora:
Née 15/12/1937
Adresse à Lodz, Pomorska 25
Dans Le ghetto: déménagements médical Court AVEC SA mère
Siegfried Strasse 73 8 plat
Franz Strasse 87 22/12/1941
Muhl Gasse 67 5 plats
Transports 31/07/1942
Je Ne Sais Pas Où vers la cousine de Mina un déporté Été, la voiture d'un cette époque, il n'y en avait plus verser Chelmno, et en plus, tu vas être sur le n ° Pas de transport du
Une sœur de Mina, morte à Auschwitz, le 08.05.1944, à l'âge de 8 ans, s'appelait Dora Bender!

Il y a BEAUCOUP d'articles sur le blog au SUJET de la famille Bender
Aller dans Le module de Recherches et taper le nom

Il y a le nom du père dans le cimetière de Lodz
Icek Bender Bender / / Icek
 C'est le Seul dans le cimetière et je-ne l'ai retrouvé ni Pas Dans Le ghetto de Lodz à Auschwitz ni